Compendium qualité technique du bâtiment

Plusieurs tuiles ont été arrachées à la suite d’une tempête. Les dommages se situent dans la zone de l’égout et de la rive.

Lorsque la neige et la glace fondent plus vite sur certaines zones du toit, cela peut être le signe d’un point faible dans l’enveloppe thermique. Il en résulte des pertes de chaleur, des coûts énergétiques élevés ainsi que des dégâts matériels (pourrissement du bois et formation de moisissures).

L’installation de chauffage est mise en service au début de l’automne. Durant les premières semaines, la pompe à chaleur fonctionne sans problème. Après quelque temps, des contrôles réguliers révèlent une différence de température nettement plus élevée que prévue entre l’aller et le retour des sondes géothermiques. En outre, des températures très basses sont mesurées au niveau du retour (sol).

Après plusieurs années, un dégât d’humidité au plafond et au mur adjacent est constaté au sous-sol.

La famille qui habite cette maison depuis des années n’a jusqu’ici eu aucun problème avec les installations sanitaires. Mais depuis quelques mois, elle constate des variations de température aux points de soutirage, notamment lors de l’utilisation de la douche. Le phénomène se produit surtout lorsque de l’eau chaude est simultanément soutirée ailleurs dans la maison.

En raison de l’air intérieur sec, l’échangeur de chaleur d’origine a été remplacé par un échangeur de chaleur enthalpique. Après quelque temps, une forte odeur de moisi est perceptible dans tout le bâtiment.

Une forte odeur de tabac est souvent perceptible dans la chambre à coucher de l’un des appartements, et ce alors qu’aucun de ses occupants ne fume.

Le rendement énergétique de l’installation photovoltaïque est plus faible que prévu.

Dans certaines conditions d’exploitation, un martellement se fait entendre dans les conduites.

Lors de la réception de l’installation de ventilation, l’intégration d’un clapet coupe-feu est critiquée.